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| | quand la vie prend sa place méditer | |
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provence administrateur Admin
Messages : 146 Date d'inscription : 01/05/2014 Age : 83 Localisation : nyons en provence
| Sujet: quand la vie prend sa place méditer Ven 2 Mai - 11:19 | |
| Quand la vie dans la vie prend sa place
La vie, quand on a dix ans, on n'y pense pas, on la vit. Rêve, insouciance et instant présent. Le passé n'est pas assez loin pour y penser, l'avenir est encore trop l'avenir pour y réfléchir. À vingt ans, la vie nous a déjà blessés, mais à cet âge les blessures guérissent vite. Du moins le pense-t-on...Toute la vie adulte est devant nous et tous les espoirs nous sont permis.
Quarante ans, c'est le mitan de la vie, l'âge des questionnements, des remises en questions. C'est l'âge des carrefours nouveaux. L'énergie se renouvelle, des élans surprenants nous sont possibles. C'est le temps des choix difficiles, c'est la porte ouverte aux surprises agréables, aux bouleversements fascinants.C'est le temps perdu qu'il faut reprendre.
Cinquante ans ouvrent sur un début de sagesse. Le temps n'a plus la même dimension. Les choix se précisent davantage. On n'a plus de temps à perdre. Notre pas, plus court plus lent, se fait plus précis.
Ainsi se continue la vie... Mais ça c'était pour nos années. Que sont les années des autres? Car vous savez sûrement, qu'en certaines régions du globe, et souvent même chez nous, beaucoup d'enfants ne se rendent même pas à dix ans. Que d'autres sont maltraités, violentés, violés!!Que des adolescents et des jeunes de vingt ans portent le fusil au lieu de porter comme nous le sac d'école de sa petite amie...
Qu'à vingt-cing ans c'est déjà leur mitan de la vie!! L'injustice, la dictature, le terrosisme, le pouvoir, les religions, la manipulation, la maladie et la pauvreté sont parmi les plaies maudites qui rongent leur vie. Eux n'ont pas le temps de penser leur vie, il leur en manque pour panser leurs plaies.
Vous savez également, pour l'avoir vécu un moment ou l'autre dans votre vie, qu'un être cher peut partir brusquement sans demander son reste, qu'un autre nous laisse des suites d'une longue maladie et, qu'enfin, d'autres choisissent volontairement d'arrêter tout ça, par désespoir, incompréhension, déception et mal existentiel. Nous savons tous qu'il y a, tout près de nous, des gens qui souffrent physiquement, psychologiquement et socialement. Mais nous souffrons tous, nous les bien portants, d'un mal infiniment plus grand que toutes les souffrances des autres. Il s'agit d'un mal si sournois, si facilement justifiable qu'on le laisse entrer en nous, on le laisse s'installer, on le laisse nous envahir, nous posséder, car ce mal porte avec lui toutes les raisons pour nous donner bonne conscience. Vous l'aurez deviné, il s'agit de l'indifférence.
C'est ça la vie me direz-vous. Est-ce votre indifférence qui parle? Pourquoi abdique-t-on si facilement à ce que l'on croit être les règles du jeu de la vie? Ne pouvons-nous pas réévaluer notre attitude à-propos de ces règles? L'instant présent est infiniment bref. Ne restons pas indifférents à la vie
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| | | provence administrateur Admin
Messages : 146 Date d'inscription : 01/05/2014 Age : 83 Localisation : nyons en provence
| Sujet: texte a méditer Ven 2 Mai - 15:28 | |
| Nous sommes riches de ce que nous ne possédons pas.
Ce texte a une résonance particulière par rapport aux autres.
Il nous invite à susciter ce qui n’est pas et à tuer ce qui est.
Il nous dit tu es riche de ce que tu n’as pas et tu es pauvre de ce que tu
possèdes déjà.
Il nous invite à toujours nous enrichir sans jamais être riche.
Cela peut être le sens d’une vie...
L’or n’a pas besoin de pierre philosophale, mais le cuivre oui.
Améliore-toi.
Ce qui est vivant, fais-le mourir : c’est ton corps. Ce qui est mort, vivifie-le : c’est ton coeur.
Ce qui est présent, cache-le : c’est le monde d’ici-bas. Ce qui est absent, fais-le venir : c’est le monde de la vie future. | |
| | | provence administrateur Admin
Messages : 146 Date d'inscription : 01/05/2014 Age : 83 Localisation : nyons en provence
| Sujet: mediter......... Ven 2 Mai - 15:29 | |
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Comment peut-on faire pour déprogrammer son mental des pensées négatives pour que nous ayons vraiment des pensées positives ?
" Je vais vous dire une chose qui va vous faire sourire : chanter. Dès qu'une pensée négative arrive et vous perturbe : chantez, riez tout seul, laissez entrer la joie en vous. Les humains de ce monde et de cette époque ne savent plus rire, ne savent plus chanter. Ils ne savent plus ouvrir la fenêtre que sur la morosité extérieure. Chantez, chantez intérieurement ou chantez extérieurement. Lorsque vous vous parlez à vous-mêmes, lorsque vous vous faites des bavardages inutiles, essayez de bien vous parler, de ne pas ressasser tous vos problèmes, à voir le négatif dans ce monde. Certes votre monde souffre, mais si vous projetiez de l'Amour, de la Lumière, de la joie, si une multitude d'enfants de ce monde projetait de la joie, celui-ci serait de nouveau lumineux et clair.
Vous l'étouffez par votre angoisse, comme vous vous étouffez, vous vous rendez malade par vos propres angoisses. Alors, redevenez des petits enfants, apprenez a être heureux ; apprenez à laisser de côté ce qui n'est pas utile à votre vie ; apprenez à rire, apprenez un peu l'insouciance. Vous êtes ficelés, coincés de partout ; libérez-vous. Apprenez à voir votre frère, non pas comme un ennemi, mais comme un ami, comme un frère. Apprenez à accepter la différence, apprenez à l'aimer tel qu'il est. Ne voyez pas la dualité chez l'autre, voyez l'union. Apprenez tout d'abord à faire l'union en vous, entre vos multiplicités, apprenez à faire l'union avec vos proches, avec votre famille, apprenez à faire l'union avec vos amis ; Mais lorsque nous parlons d'union, n'ayez pas de faux fuyants, n'ayez pas de faux semblants. Vous ne trompez que vous-mêmes. Soyez honnête jusqu'au bout, et là vous travaillerez vraiment, dans le chemin de Dieu votre Père. Vous passez votre vie à vous tromper sur vous-mêmes, sur les autres, sur la vie ; alors essayez de ne plus vous tromper, essayer de voir plus juste, en vous et autour de vous.
La négativité, c'est le mal de ce siècle, c'est tout ce que vous recevez, tout ce qui vous revient de ce que vous avez semé, ce sont toutes ces pensées qui parcourent le monde, et qui ont grandi, grandi, qui vous envahissent et vous détruisent.
Ce sont elle aussi qui détruisent votre Mère la Terre, la nature, tous ces végétaux qui souffrent et qui sont malades. Apprenez à rire, apprenez à être gai et vous serez guéri, guéri de la souffrance, guéri de la peur. Le rire, LE RIRE EST SACRE, ET VOUS L'AVEZ OUBLIE | |
| | | provence administrateur Admin
Messages : 146 Date d'inscription : 01/05/2014 Age : 83 Localisation : nyons en provence
| Sujet: chaque geste......méditer Ven 2 Mai - 15:32 | |
| Chaque geste de notre vie peut devenir bonheur L'avez-vous déjà remarqué, nous sommes toujours en attente du résultat d'un acte, d'un événement, projetés vers l'avenir, les yeux rivés sur l'aboutissement, sur l'arrivée, en attente d'autre chose, de quelqu'un d'autre, de mieux, d'ailleurs... J'escalade la montagne en ne songeant qu'à ce que je verrai du sommet. Je me dépêche de lire le livre pour en savoir plus, pour connaître la suite, toujours la suite, toujours plus avant. Je pose la question : "Comment est-ce que ça se termine ?" J'attends le train, je ne vis pas. Je suis tendue vers l'arrivée du train, le cou tendu vers le tournant où il va apparaître. "Il arrive ? Il arrive ?" Et bien sûr, une fois dans le train, je n'ai qu'une hâte : arriver ! Au travail, j'attends la pause, la fin de la journée, le week-end, les vacances, la retraite... "Quand j'aurai rencontré l'âme-soeur...", "Quand les enfants seront grands", "Ah, si j'étais libre", "Quand j'aurai de l'argent", "Quand j'aurai déménagé", "Quand j'habiterai à la campagne", "Quand j'aurai le temps...", ou alors, c'est "Ah, si j'avais su...", "Avant c'était mieux !", "Ah, quand il/elle était là !". Et finalement, je ne vis pas et les années passent. Le compte à rebours a commencé et je ne savoure toujours pas la vie précieuse qui m'est offerte à chaque seconde, la douceur de l'air dans mes poumons, sur mon visage, les yeux de l'inconnu(e) qui me croise, la colline si vivante devant moi, la danse des nuages, un après-midi de repos, la chaleur de ma couverture, un toit sur ma tête, les clins d'oeil du soleil... Hier en faisant le ménage, j'ai pris conscience pour la première fois que j'aimais faire le ménage ! Et chaque acte est devenu un véritable plaisir : laver les vitres, jeter de vieux journaux, de vieux livres, faire le vide... Chaque geste de notre vie est/peut/va devenir bonheur, chaque instant, chaque seconde (ou presque !), ne serait-ce que respirer... Alex, L'Âme et le Coeur | |
| | | provence administrateur Admin
Messages : 146 Date d'inscription : 01/05/2014 Age : 83 Localisation : nyons en provence
| Sujet: méditer.................. Ven 2 Mai - 18:11 | |
| "Le Temps File," tout le monde dit. Ça fait peur quelquefois, de regarder dans le miroir et d`y voir l`évidence de ce temps qui passe. Si souvent, nous oublions de prendre le temps de dire ce qui se cache vraiment au creux de notre coeur... Jusqu`au moment où il est trop tard, et on regrette n`avoir jamais pris le temps de dire... Je prends donc ce moment , Maman, pour te dire ceci... Lorsque j`étais enfant, il y avait tant de choses que je ne savais comprendre... Le dur travail que tu devais faire, et combien tu as dû sacrifier pour notre famille. Tu avais sûrement tes rêves, que tu voulais poursuivre, et d`autres qui ne se sont jamais réalisés. Tu as dû avoir des frustrations, toi aussi, sans doute, et même des moments de désespoir... Seulement, et malgré cela, tu ne nous as jamais moins donné que ton meilleur, de sorte que cela ne paraissait pas. Tu n`as pas eu de carrière brillante, ni une garde-robe très chic. Tu n`as pas voyagé à travers le monde ou conduit une grosse voiture. Toute ta vie, jour après jour, était consacrée à veiller sur nous, à t`inquiéter pour nous, à voir à tout , et à nous aimer, sans jamais rien attendre en retour. Tu vois, Maman, maintenant je comprends que tu m`as en fait donné deux vies: la mienne...et la tienne. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: textes à mediter! Lun 5 Mai - 10:02 | |
| L’étranger qui change nos vies ! Quelques années avant ma naissance, mon père connut un étranger récemment arrivé dans notre village. Depuis le début, mon père fut subjugué par ce personnage, si bien que nous en arrivâmes à l’inviter à demeurer chez nous. L’étranger accepta, et depuis lors il fit partie de la famille. Moi je grandissais, je n’ai jamais demandé d’où il venait, tout me paraissait évident. Mes parents étaient enseignants : ma maman m’apprit ce qu'était le bien et ce qu'était le mal, et mon père m’apprit l’obéissance. Mais l’étranger était un vrai conteur, un véritable enjôleur. Il nous maintenait pendant des heures fascinés par ses histoires mystérieuses ou rigolotes. Il avait la réponse à tout ce qui concernait la politique, l’histoire ou les sciences. Il connaissait tout du passé, du présent, il aurait presque pu parler de l'avenir ! Il fit même assister ma famille à une partie de football pour la première fois. Il me faisait rire, et il me faisait pleurer. L’étranger n’arrêtait jamais de parler, mais ça ne dérangeait pas ma Maman. Parfois elle se levait, sans prévenir, pendant que nous continuions à boire les paroles de l'étranger. Je pense qu’en réalité, elle était partie à la cuisine pour avoir un peu de tranquillité. (Maintenant je me demande si elle n’espérait pas avec impatience qu’il s’en aille.) Mon père avait ses convictions morales, mais l’étranger ne semblait en tenir aucun compte. Les blasphèmes, les mauvaises paroles, par exemple, personne chez nous, ni voisins, ni amis, ne s’y serait permis. Ce n’était pas le cas de l’étranger, qui se permettait tout, offusquant mon père et faisant rougir ma maman. Mon père nous avait totalement interdit l’alcool. Lui, l’étranger il nous incitait à en boire souvent. Il nous affirmait que les cigarettes étaient fraîches et inoffensives, et que pipes et cigares faisaient distingué. Il parlait librement (peut-être trop) du sexe. Ses commentaires étaient suggestifs, souvent vulgaires et dévergondés. Maintenant je sais que mes relations ont été grandement influencées par cet étranger pendant mon adolescence. Nous le critiquions, mais il ne faisait aucun cas de la présence de mes parents. Malgré cela, il était toujours là ! Cinquante ans sont passés depuis notre départ du foyer paternel. Et depuis lors beaucoup de choses ont changé : nous n’avons plus cette fascination. Il n’empêche que, si vous pouviez pénétrer chez mes parents, vous le retrouveriez quand même dans un coin, attendant que quelqu’un vienne écouter ses parlotes ou lui consacrer son temps libre... Voulez-vous connaître son nom ? Nous, nous l’appelons ... Téléviseur ! Pire : maintenant, il a une épouse qui s’appelle Ordinateur ! Ils ont eu un fils qui s’appelle Portable ! une nièce qui s'appelle TABLETTE et un neveu pire que tous ! Lui c’est le SMART PHONE. À la fin, depuis l'invasion de cette famille d'étrangers qui prennent tout le plancher, nous, nous oublions de nous parler. |
| | | arlettou
Messages : 75 Date d'inscription : 03/05/2014
| Sujet: Re: quand la vie prend sa place méditer Lun 5 Mai - 16:58 | |
| Cigale j'ai aussi reçu par mail ce dernier texte, au début je me demandais qui était cet étranger, je trouvais ça un peu " raciste " ! Et il faut vraiment lire le texte jusqu'au bout | |
| | | Invité Invité
| Sujet: textes à mediter! Mar 6 Mai - 8:17 | |
| *LES POMMERAIES DU PAYS D’OTHE ************************************************** Entre Bourgogne et terre Champenoise, le pays d’Othe s’étend de Dixmont à Sormery. Il s’agit de la partie la plus boisée du nord de l’Yonne, localement renommée pour ses pommes qui ne servaient pas qu’à préparer des tartes… Au XIXème siècle, c’est le cidre, mais aussi le ratafia et l’eau de vie, qui apportaient la prospérité économique aux paysans de cette région. Aujourd’hui encore, le cidre bouché du terroir est le produit du pressurage de variétés locales de pommes. Attention, ce cidre qui « se laisse boire » titre quand 7°…Comme le bon vin, il peut se conserver plusieurs années. Les connaisseurs évoquent un breuvage plutôt sec aux saveurs de « pierre à fusil » qui n’est pas sans rappeler que l’Othe est une ingrate terre à silex. Le visiteur venu admirer les paysages doit donc imaginer que derrière les murs des bâtiments traditionnels aux murs de silex et de briques se cachent sans doute de nombreux pressoirs et alambics pas encore « à la retraite ». Curiosité locale, le pressoir typique dit « à roue de perroquet » ce genre de pressoir a été utilisé de la fin du XVIème siècle jusqu’à la fin du XIXème siècle. La force de pression est imprimée par la rotation d’un treuil horizontal actionné par une roue à rayons comportant une seule jante (il ne s’agit pas d’une cage à écureuil). Les fortes chevilles qui solidarisent les rayons à la jante servent de poignées rendant ainsi possible la manœuvre à plusieurs bras. Le comité de développent du pays d’Othe anime ce territoire en marge des circuits touristiques en organisant plusieurs manifestations telles que la « route du Cidre » (randonnées pédestres et VTT) et « la grande fête du cidre » qui est en quelque sorte la St Vincent Tournante des cidriculteurs. Mais il faut également citer le « Festival en Othe » qui se tient à Aix-en-Othe et, bien sûr, à Vaudeurs, le Musée du cidre et de la pomme de la famille Frottier. Ces exploitants se sont particulièrement investis dans la conservation des savoirs faire et du patrimoine vivant que constitue la pomme du pays d’Othe, notamment par le biais d’un verger conservatoire où sont protégés les variétés traditionnelles de pommes portant des noms évocateurs comme nez-de-chat, cul d’oison ou petit rouge. Alors n’hésitez pas, si le cœur vous en dit,à venir goûter le cidre bourguignon du pays d’Othe Alain ROBERT JE VOULAIS TANT **************************** Je voulais tellement de choses pour toi Tant de choses que nous ne ferons pas Pouvoir guider tes premiers pas Être toujours là pour toi Te regarder grandir Te regarder sourire Te regarder pleurer Pour pouvoir te consoler Consoler tous tes chagrins Faire plus beaux tes lendemains Corriger tes erreurs Partager ton bonheur Être complice de tes amours Te soutenir toujours T'aider à trouver le chemin Ne jamais lâcher ta main T'encourager à faire le bon choix Te guider dans la bonne voie Rire avec toi de tes bêtises Ignorer ceux qui te méprisent Pleurer de tes malheurs Recoller les morceaux de ton coeur Te regarder construire ta vie Je voulais tellement pour toi Je voulais tout simplement Que tu me soutiennes à ton tour En me donnant un peu d'amour En me prenant la main Comme moi j'ai tenu la tienne Pour me conduire au bout du chemin Voir au fond de tes yeux la lueur De ce qu'aurait été notre bonheur Je voulais tellement de choses pour toi Tant de choses que nous n'aurons pas Car la vie en a voulu autrement Moi qui voulais tant pour toi |
| | | provence administrateur Admin
Messages : 146 Date d'inscription : 01/05/2014 Age : 83 Localisation : nyons en provence
| Sujet: textes a méditer Jeu 8 Mai - 19:11 | |
| Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle… l’Authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, J’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment… Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le Respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire, personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait cela de l’égoïsme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… l’Amour propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire de grands plans, j’ai abandonné les méga-projets du futur. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime quand cela me plait et à mon rythme. Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… la Simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert … l’Humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois. Et cela s’appelle… la Plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon coeur, elle devient une alliée très précieuse ! Tout ceci, c’est… le Savoir vivre. (Charlie Chaplin) Pour être ce que tu as envie d'être. Il n'y a pas de limite de temps, c'est quand tu veux. Tu peux changer ou rester la même. Il n'y a pas de règles pour ça. On peut en tirer le meilleur ou le pire. J'espère que tu en tireras le meilleur, j'espère que tu verras des choses qui te secoueront. Que tu ressentiras des choses que tu n'as jamais ressenties. Que tu rencontreras des personnes qui ont un point de vue différent. J'espère que tu seras fière de ta vie. Et que si tu découvres que ça n'est pas le cas, j'espère que tu auras la force de tout recommencer. Histoire d'amour entre animaux L’amour est aveugle et ne connaît pas de règle. L’alchimie entre deux êtres reste depuis toujours un mystère… fort heureusement. Et si cette alchimie existait aussi chez les animaux ? L’attachement que l’homme porte aux bêtes est question de sentiment mais aussi de culture. Le chat par exemple a été tout à tour sacré au temps des égyptiens et maudit au Moyen Age. On sait aussi que les animaux peuvent s’attacher à leurs maîtres au point de se laisser mourir s’ils disparaissent. Mais qu’en est t-il des animaux entre eux ? On pourrait penser que là tout au moins l’instinct sert de guide. Et pourtant eux aussi n’ont pas finit de nous surprendre. On connaît l’histoire du chat qui joue avec une souris…en toute amitié ou celle d’un chien qui prend un oiseau sous son aile…protectrice mais le miracle de l’amour peut se révéler encore plus fort. En voici la preuve. La scène se passe dans la célèbre Tour de Londres en 1788, époque où celle-ci renferme une ménagerie ouverte au public. Un superbe lion en provenance du Sénégal surnommé Terrific fait parti de l’attraction. Chaque jour des londoniens font le déplacement pour assister à son repas d’autant qu’ils peuvent même payer leurs entrées en offrant un animal en guise de nourriture. C’est ainsi qu’un jour un chien Barbet * trouvé dans la rue se retrouva dans la cage du fauve. Hors celui-ci loin de le dévorer comme il le faisait habituellement avec ses proies s’en approcha, le renifla, lui donna un petit coup de patte amical et se coucha docilement à coté de lui. Bientôt tout Londres fut au courant et nombreux furent ceux qui venaient voir cette image attendrissante d’un chien dormant entre les pattes d’un lion. Les histoires d’amour finissent mal…en général et celle-ci ne fit pas exception. Malheureusement pour cette idylle, le chien tomba malade et mourut. La réaction du lion fut à la hauteur de son amour. Citons un chroniqueur de l’époque « La crinière hérissée, les yeux étincelants, sa douleur éclate en fureur […]. Souvent, il considère d’un œil consterné le corps immobile de son ami et pousse des rugissements épouvantables […]. Après plusieurs jours durant lesquels il refuse toute nourriture, il se couche avec le cadavre du chien entre ses pattes et demeure ainsi plusieurs jours. Il sombre dans une sorte de morne et navrante langueur qu’il va conserver jusqu’à sa mort. Tous les chemins du monde mènent au coeur du guerrier; il s'immerge sans hésiter dans le fleuve de passions qui traverse sa vie. Le guerrier sait qu'il est libre de choisir ce qu'il désire; ses décisions sont prises avec courage, désintéressement, et parfois avec une certaine dose de folie. Il accepte ses passions et en jouit intensément. Il sait qu'il n'est pas necéssaire de renoncer à l'enthousiasme des conquêtes; elles font partie de la vie, et réjouissent tous ceux qui y prennent part. Mais il ne perd jamais de vue les choses durables et les liens solides qui se sont crées au fil du temps. Un guerrier sait distinguer ce qui est passager de ce qui est définitif. Paul Coelho | |
| | | provence administrateur Admin
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| Sujet: méditer............... Sam 10 Mai - 16:40 | |
| MERE TERESA Voix de la Sagesse ... Le meilleur de toi-même Mère Teresa Les gens sont souvent déraisonnables, illogiques et centrés sur eux-mêmes. Pardonne-les quand même.. Si tu es gentil, les gens peuvent t'accuser d'être égoïste et d'avoir des arrières pensées. Sois gentil quand même… Si tu réussis, tu trouveras des faux amis et des vrais ennemis. Réussis quand même… Si tu es honnête et franc, il se peut que les gens abusent de toi. Sois honnête et franc quand même… Ce que tu as mis des années à construire, quelqu'un pourrait le détruire en une nuit. Construis quand même… Si tu trouves la sérénité et la joie, ils pourraient être jaloux. Sois heureux quand même… Le bien que tu fais aujourd'hui, les gens l'auront souvent oublié demain. Fais le bien quand même… Donne au monde le meilleur que tu as, et il se pourrait que cela ne soit jamais assez. Donne au monde le meilleur que tu as quand même… Tu vois, en faisant une analyse finale, c'est une histoire entre toi et Dieu, cela n'a jamais été entre eux et toi. Mère Teresa Voix de la sagesse Il était une fois, dans le royaume de la mer, un roi dauphin qui était très triste car sa fille avait disparu. La méchante pieuvre Monstra l'avait capturée et enfermée dans une grotte sous-marine secrète. Le roi fit mettre, dans tout le royaume, l'affiche suivante : "Le dauphin qui retrouvera ma fille pourra l'épouser. Signé : Le Roi" Comme la princesse était très belle, plusieurs dauphins essayèrent de la délivrer. Mais on ne les revit jamais plus. Un jour Théo, un jeune dauphin, vit l'affiche. Il décida d'aller immédiatement à la recherche de la princesse car il en était amoureux depuis des années. Sa mère lui dit : "C'est très dangereux! De nombreux dauphins ont déjà disparu. -Je l'aime. Je veux la délivrer, repondit Théo." Il partit donc a l'aventure et nagea, nagea, nagea... Soudain, il entendit une voix. "Au secours! Au secours! Délivrez-nous!" Théo se précipita vers ces cris. Il vit alors une sirène et un hippocampe géant prisonniers d'un filet de pêcheur. Il remonta à la surface prendre de l'air. Il redescendit et déchira les mailles du filet avec son bec. "Merci de nous avoir sauvés. Je m'appelle Cheveux d'Or. Comment pourrais-je te remercier? interrogea la sirène. -Je ne veux rien. Mais peut-être sais-tu où habite Monstra la pieuvre? -Je connais la grotte qui lui sert de refuge. Je vais t'y accompagner avec mon ami l'hippocampe, répondit la sirène." Les trois amis reprirent la route et nagèrent, nagèrent, nagèrent... Tout à coup ils entendirent le chant de douleur d'une baleine. Ils se dirigèrent vers ces plaintes et trouvèrent une baleine avec un harpon planté dans un de ses flancs. "A l'aide! Je saigne, je suis blessée! -Ne crains rien. Nous allons te sauver rassura Théo." Le dauphin et la sirène réussirent à retirer le harpon. Cheveus d'Or, qui connaissait toutes les plantes de la mer, alla chercher des algues qui soignaient les blessures. Elle en fit un pansement à la baleine. "Je vous dois la vie, remercia le baleine. Je m'appelle Lucie. Que pourrais-je faire pour vous? -Suis-nous, on aura peut être besoin de toi lui proposa Théo." Les quatre amis reprirent la route et nagèrent, nagèrent, nagèrent... Soudain, la sirène les arrêta. "Chuutt...,voilà la grotte de Monstra chuchota-t-elle." Devant 'entrée veillaient trois requins marteaux et trois requins blancs... Théo remonta alors à la surface pour respirer et prendre des forces. Après un terrible combat, il se débarrassa de tous les requins en attaquant leurs ouïes avec son bec. Ils moururent asphyxiés. L'énorme pieuvre Monstra sortit alors de son trou et se mit à agiter ses huit tentacules. "Vous ne passerez pas! Je vais tous vous tuer! gronda t-elle. -C'est ce que l'on va voir! s'exclama Théo." Le courageux dauphin s'avança. Mais la pieuvre lui lança un jet d'encre noire pour l'aveugler. Heureusement, Lucie, la baleine, aspira toute l'encre et la rejeta sur Monstra. Celle-ci ne savait plus où elle était. Elle s'affola, gigota et s'emmêla les huit tentacules. Théo en profita pour aller chercher la princesse dans la grotte. Celle-ci tomba immédiatement amoureuse de son sauveur. Nos amis et la dauphine retournèrent au palais. Théo alla voir le roi dauphin. "Majesté, je vous ramène votre fille. -Comme promis tu peux l'épouser, répondit le roi." Ils se marièrent et eurent beaucoup de bébés dauphins. Quant à la pieuvre, elle essaie toujours, paraît-il, de se démêler les tentacules... | |
| | | provence administrateur Admin
Messages : 146 Date d'inscription : 01/05/2014 Age : 83 Localisation : nyons en provence
| Sujet: petits textes a méditer Lun 12 Mai - 18:20 | |
| LE PASSE ET LE FUTUR Le Passé, le dos courbé fouillant ses souvenirs et le Futur les yeux tournés vers l'Avenir conversaient il n'y a pas si longtemps. - Je ne vous comprends pas, disait le Passé. Vous perdez votre temps! Où pensez-vous allez avec vos rêveries? Vous n'êtes même pas sûr d'être encore là demain. - Peut-être, répondit le Futur, mais puis-je vous dire que pour ma part, je trouve votre attitude quelque peu farfelue. Vous vous nourrissez de choses disparues qui ne reviendront plus et de plus impossibles à changer. Avouez qu'il faut être vraiment un peu bizarre pour se complaire ainsi dans un monde désuet et qui, dans bien des cas, est rempli de regrets. Plein de respect envers ses pairs, le Présent avait écouté toute la conversation. - Messieurs, dit-il alors, puis-je me permettre d'émettre une opinion? - Allez, dirent le Passé et le Futur pour une fois d'accord. Vous avez la parole, nous vous écoutons. Le Présent, calmement, énonça ce qui suit: - Mon cher Passé, avec vos souvenirs, il est clair que vous êtes précieux, pour autant bien sûr qu'ils soient agréables, plaisants et heureux. Quand à vous cher Futur rêveur, plein de projets, il y a là une question de mesure: les projets, il en faut, c'est bien évident car ils sont des moteurs d'action, mais ils ne doivent pas cependant entraver le parcours du présent, qui lui, a comme mission de vivre intensément chaque minute, chaque heure ou encore chaque moment. Souvenirs ou projets, ne peuvent en aucun cas museler le présent ou limiter sa vie, mais bien tout au contraire le rendre plus attrayant, accompagné par quelques beaux souvenirs, alors le Présent se vivra pleinement... = Une question qui me turlupine depuis hier soir... C'est la question du Paradis et de l'Enfer. Oh non pas que j'y crois spécialement, mais c'est l'aspect symbolique de la chose, ainsi que le paradoxe qu'ils illustrent. Enfin, surtout en ce qui concerne l'Enfer, en fait : Si on se conduit mal durant notre vie, on va en Enfer, jusque là, tout va bien. Mais, si on est mauvais, l'Enfer ne peut pas être si mal, alors, puisqu'on est dans notre élément ? On peut se dire que c'est le Diable qui punit les vilains pas beaux, mais s'il punit, alors il est le Bien, mais comme il est le Mal il ne peut qu'encourager la chose... Est-ce qu'ils y ont pensé, à ça ? Alors au final, l'Enfer ne serait l'Enfer que si Dieu lui-même y régnait pour punir les mauvaises personnes. Mais si le Diable régnait sur le Paradis, alors ce serait l'Enfer à proprement parler, puisque les bonnes personnes n'y auraient pas leur place... Donc, l'Enfer seulement pourrait exister, et pas le Paradis. Sauf si c'est le Bon Dieu qui règne sur les deux ! Ah après tout, ça serait le contre-argument idéal, puisque Dieu est parfait, est partout et peut tout faire ^^ Mais alors, ça signifie qu'il est tout aussi Bien que Mal ? (voilààààà maintenant je suis contente, je vous ai tout bien embrouillé comme il faut ! XD) == Faut-il toujours se demander ce que demain va nous arriver ? Si on vivait simplement aujourd'hui On aurait beaucoup moins d'ennuis. Inutile de vivre dans le passé puisque c'est terminé Et pour l'avenir, attendons donc qu'il arrive Soyons heureux dans le présent. Laissons l'avenir se dessiner lentement. Tous ces jours que vous laissez passer ,jamais vous ne les retrouverez Regardez le bonheur que vous avez maintenant. Profitez de chaque heure que vous vivez car les heures font les journées. En vieillissant vous regretterez ces jours perdus car ils diminueront de plus en plus ! Soyons heureux dans le présent car c'est le moment le plus important ! == Il y a des mots si beaux et si doux comme ce "je t'aime" que l'on censure parfois tout simplement parce que les dire, les murmurer et les écrire signifient beaucoup. On ne dit pas"je t'aime" à tout le monde de la même façon, c'est impossible. Quand on dit "je t'aime" avec le coeur plus rien n'équivaut ces mots qui diffèrent tant de ce " je t 'aime bien", lequel est plus ...modéré. Il y a tant à dire sur ces mots douceur, ces "je t'aime" dits avec un réel amour, ces "je t'aime" dits avec tendresse, ces "je t'aime" dits avec passion, ces "je t'aime" dits avec désir lesquels diffèrent de ces "je t'aime" dits sans but, sans raison, seulement pour le plaisir et sans plus. Ces mots "je t'aime" sont les plus beaux et les plus précieux quand ils sont dits sincèrement à celui ou celle qui a gagné et atteint ton coeur, alors seulement à ce moment tu en décèles toute sa sincérité seulement au son et au regard qui accompagnent ce "je t'aime." | |
| | | provence administrateur Admin
Messages : 146 Date d'inscription : 01/05/2014 Age : 83 Localisation : nyons en provence
| Sujet: le secret du bonheur "méditer " Mer 14 Mai - 16:51 | |
| Le secret du bonheur Un extrait de « L’Alchimiste » de Paolo Coelho Un vieux monsieur envoya son fils apprendre le secret du bonheur auprès du plus sage de tous les hommes. Le jeune garçon marcha quarante jours dans le désert avant d’arriver finalement devant un beau château, au sommet d’une montagne. C’était là que vivait le Sage dont il était en quête. Notre héros entra dans une salle où se déployait une activité intense : des marchands entraient et sortaient, des gens bavardaient dans un coin, un petit orchestre jouait de suaves mélodies, et il y avait une table chargée de mets les plus délicieux de cette région du monde. Le Sage parlait avec les uns et les autres, et le jeune homme dut patienter deux heures durant avant que ne vînt enfin son tour. Le Sage écouta attentivement le jeune homme lui expliquer le motif de sa visite, mais lui dit alors qu’il n’avait alors pas le temps de lui révéler le secret du bonheur. Et il lui suggéra de faire un tour de promenade dans le palais et de revenir le voir à deux heures de là. « Cependant, je veux vous demander une faveur » ajouta le Sage, en remettant au jeune homme une petite cuillère, dans laquelle il versa deux goutes d’huile : « Tout au long de votre promenade, tenez cette cuillère à la main, en faisant en sorte de ne pas renverser l’huile ». Le jeune homme commença à monter et descendre les escaliers du palais, en gardant toujours les yeux fixés sur la cuillère. Au bout de deux heures il revint en présence du Sage. « Alors, demanda celui-ci, avez-vous vu les tapisseries de Perse qui se trouve dans ma salle à manger ? Avez-vous vu le parc que le Maitre des Jardiniers a mis dix ans à créer ? Avez-vous remarqué les beaux parchemins de ma bibliothèque ? » Le jeune homme, confus, dut avouer qu’il n’avait rien vu du tout. Son seul souci avait été de ne point renverser les gouttes d’huile que le Sage lui avait confié. « Et bien, retournez faire connaissance des merveilles de mon univers, on ne peut se fier à un homme si l’on ne connait pas la maison qu’il habite. », lui dit le sage. Plus rassuré maintenant, le jeune homme prit la cuillère et retourna se promener dans le palais, en prêtant attention, cette fois, à toutes les œuvres d’art qui étaient accrochées aux murs et aux plafonds. Il vit les jardins, les montagnes alentours, la délicatesse des fleurs, le raffinement avec lequel chacune des œuvres d’art était disposée à la place qui convenait. De retour auprès du Sage, il relata de façon détaillée tout ce qu’il avait vu. « Mais où sont les deux gouttes d’huile que je t’avais confiées? » demanda le Sage. Le jeune homme, regardant alors dans sa cuillère, constata qu’il les avait renversées. « Et bien, c’est là le seul conseil que j’ai à te donner : le secret du bonheur est de regarder toutes les merveilles du monde, mais sans jamais oublier les deux gouttes d’huile dans la cuillère! » Un extrait de « L’Alchimiste » de Paolo Coelho | |
| | | cigale13 modérateur
Messages : 23 Date d'inscription : 14/05/2014 Age : 72 Localisation : bouches du rhône
| Sujet: textes à méditer Jeu 15 Mai - 9:21 | |
| Quand je ne serai plus là, lâchez-moi ! Laissez-moi partir Car j'ai tellement de choses à faire et à voir ! Ne pleurez pas en pensant à moi ! Soyez reconnaissants pour les belles années Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour ! Vous ne pouvez que deviner Le bonheur que vous m'avez apporté ! Je vous remercie pour l'amour que chacun m'a démontré ! Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul. Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. Nous ne serons séparés que pour quelques temps ! Laissez les souvenirs apaiser votre douleur ! Je ne suis pas loin et et la vie continue ! Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai ! Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je sera là, Et si vous écoutez votre cœur, vous sentirez clairement La douceur de l'amour que j'apporterai ! Quand il sera temps pour vous de partir, Je serai là pour vous accueillir, Absent de mon corps, présent avec Dieu ! N'allez pas sur ma tombe pour pleurer ! Je ne suis pas là, je ne dors pas ! Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d'automne, Je suis l'éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l'étoile qui brille dans la nuit ! N'allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne suis pas mort. (Prière amérindienne) Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas. Elle leur dit : "Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim, s'il vous plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger". "Est-ce que les enfants de la maison sont là"? demandent-ils. "Non, ils sont sortis leur répond-elle". "Alors nous ne pouvons pas entrer". En fin d'après-midi, lorsque les enfants reviennent de l'école, la mère leur raconte son aventure avec les trois hommes. "Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer" ! Disent-ils à leur mère. La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison. "Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison", répondent-ils. Un des vieillards explique : "Son nom est 'Richesse' ", dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre, "lui c'est 'Succès', et moi je suis 'Amour' ". Il ajoute alors, "Retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison". La femme retourne à la maison et rapporte à sa famille ce qui lui avait été dit. "Comme c'est étrange" ! S'exclament les enfants. "Puisque c'est le cas, nous voulons "Richesse" . La mère n'était pas d'accord. "Pourquoi n'inviterions- nous pas Succès? Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires ..." La plus petite, Raffie, qui suçait encore son pouce, s'exprime à son tour : "Veux mamours, veux mamours ...". Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine et la mère sort inviter 'Amour' à entrer ... 'Amour' se lève et commence à marcher vers la maison. Les deux autres se lèvent aussi et le suivent. Étonnée, la femme demande à 'Richesse' et 'Succès': "J'ai seulement invité 'Amour'. Pourquoi venez-vous aussi" ? Les vieillards lui répondent ensemble : "Si vous aviez invité 'Richesse' ou 'Succès', les deux autres d'entre nous seraient restés dehors, mais vous avez invité 'Amour' et partout où il va, nous allons avec lui, puisque partout où il y a de l'Amour, il y a aussi de la richesse et du succès. MON SOUHAIT POUR TOI QUI ME LIS: Où il y a de la douleur, je te souhaite la paix, Où il y a le doute en toi, je te souhaite une confiance renouvelée Où il y a la fatigue ou l'épuisement, je te souhaite la compréhension, la patience et la force... Où il y a la crainte, je te souhaite l'amour et le courage. Vous pouvez inviter l'amour en partageant cette histoire avec tous ceux dont vous vous souciez. C 'est ce que j'ai fait pour vous, parce que pour que le bonheur existe, il faut le partager... LA VALEUR D'UNE PERSONNE SE MESURE TOUJOURS AU BONHEUR QU'ELLE DONNE AUX AUTRES. Une histoire pleine de lumière ! Personne n’osait passer dans un chemin où un serpent venimeux avait élu domicile. Un " mahâtmâ " (épithète donnée aux hommes qui ont atteint la perfection morale ou spirituelle) ayant un jour suivi cette route, des enfants qui gardaient les troupeaux se précipitèrent pour l’avertir. " Je vous remercie, mes enfants, répondit le sage, mais je n’ai pas de crainte. D’ailleurs, je connais des mantras qui me protégeront contre toute attaque ". Et il continua d’avancer. Brusquement, le cobra se dressa contre lui. Mais en approchant du Saint Homme, il se sentit soudain pénétré de la douceur du " yogin " (celui qui pratique le yoga). Le Sage voyant le serpent, prononça une formule magique et le serpent s’écroula à ses pieds. Alors le Sage lui demanda : " mon ami, as-tu l’intention de me mordre ? " Le serpent stupéfait ne répondit rien. " Voyons dit le mahâtmâ, pourquoi fais-tu ainsi du mal à d’autres créatures? Je vais te donner une formule sacrée que tu répéteras constamment. Ainsi tu apprendras à aimer Dieu. Et en même temps tu perdras tout désir de faire le mal. " Et il lui murmura la formule à l’oreille. Le serpent s’inclina en signe d’assentiment, puis rentra dans son trou pour y vivre d’innocence et de pureté, sans avoir jamais plus le désir de blesser un être vivant. Au bout de quelques jours, les enfants du village voisin s’aperçurent de ce changement d’attitude et, pensant que le serpent avait perdu son venin, ils se mirent à le tourmenter, à lui jeter des pierres et à le traîner sur les cailloux. Le serpent grièvement blessé , se laissa faire et alla se cacher dans son trou. A quelques temps de là, le sage repassa par ce chemin et chercha le serpent, mais en vain. Les enfants lui dirent que l’animal était mort, mais il ne put pas les croire. Il savait en effet que le nom de Dieu a une telle puissance qu’on ne saurait en aucun cas mourir avant d’avoir résolu le problème de la vie, c’est-à-dire avant d’avoir réalisé Dieu. Il continua donc d’appeler le cobra. Finalement celui-ci, qui était presque réduit à l’état de squelette, sortit de son trou et s’inclina devant son maître : " comment vas-tu, demanda le sage? Fort bien, Seigneur, merci : par la grâce de Dieu tout va bien. Mais pourquoi es-tu dans cet état? Conformément à tes instructions, je cherche à ne plus faire de mal, à aucune créature : je me nourris maintenant de feuilles. C’est pourquoi j’ai un peu maigri. Ce n’est pas le changement de régime qui a suffi à te mettre dans cet état : il doit y avoir autre chose. Réfléchis un peu ! - Ah oui je me souviens : les petits bergers ont été un peu durs pour moi, un jour. Ils m’ont pris par la queue et m’ont fait tournoyer, me frappant contre des pierres. Ces pauvres petits ne savaient pas que je ne les mordrais plus! " Le Sage répondit en souriant : " Pauvre ami, je t’ai recommandé de ne mordre personne, mais je ne t’ai pas défendu de siffler pour éloigner les persécuteurs et les tenir en respect ! " De même vous qui vivez dans le monde, ne blessez personne, mais ne laissez non plus personne vous molester ! La mort n'est rien, je suis seulement passée, dans la pièce à côté. Je suis moi. Vous êtes-vous. Ce que j'étais pour vous, je le suis toujours. Donnez-moi le nom que vous m'avez toujours donné, parlez-moi comme vous l'avez toujours fait. N'employez pas un ton différent, ne prenez pas un air solennel ou triste. Continuez à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Priez, souriez, pensez à moi, priez pour moi. Que mon nom soit prononcé comme il l'a toujours été, sans emphase d'aucune sorte, sans une trace d'ombre. La vie signifie tout ce qu'elle a toujours été. Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de vos pensées, simplement parce que je suis hors de votre vue ? Je ne suis pas loin, juste de l'autre côté du chemin. texte de Saint Augustin Maintenant que je suis partie, laissez-moi aller Même s’il me restait encore des choses à voir et à faire. Ma route ne s’arrête pas ici. Ne vous attachez pas à moi à travers vos larmes. Soyez heureux de toutes les années passées ensemble. Je vous ai donné mon amour, Et vous pouvez seulement deviner combien de bonheur vous m’avez apporté. Je vous remercie pour l’amour que vous m’avez témoigné Mais il est temps maintenant que je poursuite ma route. Pleurez-moi quelques temps, si pleurer il vous faut. Et ensuite, laissez votre peine se transformer en joie Car c’est pour un moment seulement que nous nous séparons Bénissez donc les souvenirs qui sont dans votre cœur. Je ne serai pas très loin, car la vie se poursuit. Si vous avez besoin de moi, appelez-moi, je viendrai Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher. Je serai près de vous. Et si vous écoutez avec votre cœur, Vous percevrez tout mon amour autour de vous dans sa douceur et sa clarté. Et puis, quand vous viendrez à votre tour par ici, Je vous accueillerai avec le sourire Et je vous dirai : bienvenue chez nous. | |
| | | provence administrateur Admin
Messages : 146 Date d'inscription : 01/05/2014 Age : 83 Localisation : nyons en provence
| Sujet: tres beaux textes Jeu 15 Mai - 18:50 | |
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| Sujet: Re: quand la vie prend sa place méditer | |
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| | | | quand la vie prend sa place méditer | |
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